Les principaux impacts des énergies éoliennes ont lieu pendant les phases de construction et d’exploitation.
La perte d’habitats causée par le défrichement d’espaces boisés lors de la phase de construction a des effets négatifs sur les espèces animales forestières.
Au cours de la phase d’exploitation, les principales perturbations des éoliennes sont dûes au mouvement du rotor, au bruit, aux vibrations, aux lumières vacillantes et à une présence humaine accrue.
Ces perturbations entraînent, chez de nombreuses espèces animales :
- Mortalité directe par collision ;
- Mortalité indirecte par la diminution de la qualité de l’habitat et la disponibilité des ressources à proximité des éoliennes ;
- Changements de comportement tels que l’évitement et la modification des trajectoires de vol, en particulier chez les espèces migratrices. Ces actions d’évitement peuvent se produire à différentes échelles, au niveau de l’ensemble du parc éolien, en son sein ou à proximité immédiate des éoliennes.
Les principaux impacts des énergies éoliennes ont lieu pendant les phases de construction et d’exploitation.
La perte d’habitats causée par le défrichement d’espaces boisés lors de la phase de construction a des effets négatifs sur les espèces animales forestières.
Au cours de la phase d’exploitation, les principales perturbations des éoliennes sont dûes au mouvement du rotor, au bruit, aux vibrations, aux lumières vacillantes et à une présence humaine accrue.
Ces perturbations entraînent, chez de nombreuses espèces animales :
- Mortalité directe par collision ;
- Mortalité indirecte par la diminution de la qualité de l’habitat et la disponibilité des ressources à proximité des éoliennes ;
- Changements de comportement tels que l’évitement et la modification des trajectoires de vol, en particulier chez les espèces migratrices. Ces actions d’évitement peuvent se produire à différentes échelles, au niveau de l’ensemble du parc éolien, en son sein ou à proximité immédiate des éoliennes.
Par compétition pour les ressources, occupation de niches écologiques, prédation, vection de maladie ou encore des modifications du milieu, elles ont contribué, parmi d’autres causes, à 60 % des extinctions d’animaux et de plantes sur la planète, pertes qui réduisent la résilience des écosystèmes et favorise l’émergence d’autres espèces exotiques. Un cercle vicieux qui n’est pas sans conséquence : le coût économique mondial documenté des invasions biologiques est multiplié par quatre tous les dix ans depuis 1970. En 2019, sur les 37 000 espèces exotiques établies recensées, 3 500 sont envahissantes et les coûts annuels mondiaux des invasions biologiques ont été estimés à plus de 423 milliards de dollars.
Publiée en 2023, une évaluation de l’Ipbes s’est intéressée spécifiquement à cette pression, particulièrement présente dans les îles, afin de mieux en comprendre les contours ainsi que les moyens d’action et de prévention. La FRB en extrait ici les messages-clés et apporte son regard critique.
Construire des indicateurs suppose de savoir à qui ils s’adressent, qu’est-ce qu’ils représentent mais aussi comment les documenter. Ces choix exigent de tenir compte des différentes facettes du vivant, mais également des responsabilités respectives des autorités publiques, des entreprises, des consommateurs et des citoyens, d’intégrer les spécificités de chaque partie prenante, et ainsi, d’identifier d’éventuels leviers d’actions pour que chacune puisse réduire ses impacts. Plusieurs propositions en faveur d’un indicateur « unique et global » ont émergé.
Qu’en est-il de leurs pertinence et utilisation face aux enjeux actuels de biodiversité ? La FRB investie depuis plusieurs années cette question majeure. Elle analyse ici les options actuelles s’offrant aux acteurs publics et privés.
Alors que les enjeux de biodiversité montent en puissance auprès des citoyens, des acteurs et des décideurs publics et privés, il est important de rappeler deux évidences.
D’abord la biodiversité n’est pas figée, elle est intrinsèquement dynamique : compositions, structures, fonctions évoluent dans le temps et l’espace – mais aussi au sens « darwinien » et elle croise les grands cycles d’énergie et de matière. Ensuite, nous, humains, coexistons avec cette biodiversité sur les territoires, à des échelles également multiples, territoires eux-mêmes changeants, façonnés par les processus démographiques, politiques, sociologiques, économiques, mais aussi écologiques.
Ainsi, tenir compte des dynamiques de biodiversité dans la gouvernance des territoires humains est un impératif et un défi de tous les instants pour engager des politiques et des pratiques de conservation ambitieuses. Cela ouvre la voie à un changement transformateur indispensable pour une réelle coexistence entre humains et non-humains.
Découvrez au travers de cette publication, les principales conclusions et pistes de recherche issues du Club recherche-action “Conservation de la biodiversité dans les territoires : comment appréhender les dynamiques ?” de la FRB. En croisant leurs visions et pratiques, décideurs, entrepreneurs, gestionnaires et chercheurs de ce groupe de travail se sont notamment intéressés à la naturalité, à la séquence « Éviter, réduire, compenser » et aux métriques de dynamiques de biodiversité ; ils ont échangé autour d’exemples de mise en œuvre dans différents types d’écosystèmes, et pour différents niveaux d’anthropisation.
Pêche, cueillette, observation : nombreuses sont les pratiques humaines à travers le monde en lien direct avec les espèces sauvages de plantes, d’animaux, de champignons et d’algues. Pour tendre vers des pratiques plus durables, 85 experts issus des sciences naturelles, humaines et sociales et 200 auteurs collaborateurs ont travaillé conjointement pendant 4 ans.
En s’appuyant sur plus de 6 200 sources provenant de la littérature scientifique et des savoirs autochtones et locaux, les auteurs proposent une analyse et des outils et identifient cinq catégories d’utilisation des espèces sauvages : la pêche, la cueillette, l’exploitation forestière, le prélèvement d’animaux terrestres et les pratiques non extractives.
La FRB propose dans la brochure les principaux messages à retenir ainsi qu’une analyse critique de ce travail unique.
Bien que l’humanité fasse partie et dépende de la biodiversité, nos actions conduisent majoritairement à l’extinction du tissu vivant et nous échouons à vivre en harmonie avec la biodiversité. Identifier et comprendre les différentes valeurs accordées à la nature et s’intéresser à leurs rôles dans les prises de décisions est un travail de longue haleine. C’est toutefois une étape fondamentale pour mieux comprendre, gérer, protéger et utiliser la biodiversité. C’est également une étape nécessaire pour atteindre une bonne qualité de vie pour tous, humains et non-humains.
Cette évaluation de l’Ipbes s’est intéressée à ces valeurs qui reflètent les relations des êtres humains avec la nature et sont très liées à la façon dont hommes et femmes interagissent entre eux. Ainsi, les valeurs de certains acteurs peuvent dominer dans les prises de décisions tandis que d’autres peuvent être marginalisées, conduisant souvent à des décisions inéquitables, des conflits et l’aggravation de la perte de biodiversité.
La FRB propose dans la brochure les principaux messages à retenir ainsi qu’une analyse critique de ce travail unique.
Au cours du siècle dernier, le nombre d’introductions d’espèces exotiques a fortement augmenté dans le monde. Près de 20 % de la surface terrestre est soumise aux invasions biologiques qui peuvent être nuisibles aux espèces endémiques, aux fonctions écosystémiques, aux contributions de la nature aux humains ainsi qu’aux systèmes socio-culturels et à la santé. Des milieux terrestres aux milieux marins, tous les écosystèmes sont concernés. Depuis le début du 19e siècle, le taux d’introduction de nouvelles espèces exotiques s’accélère et ne montre aucun signe de ralentissement. Aujourd’hui, du nord au sud, tous les pays sont concernés par ce phénomène.
Espèces exotiques, de quoi parle-t-on ? À quoi sont-elles dues ? Comment diminuer cette pression ? C’est ce qu’explore le dépliant disponible dans les ressources téléchargeables.
L’exploitation des organismes n’est pas durable lorsque le prélèvement d’individus d’une population se fait au-delà du taux de renouvellement et de l’accroissement biologique de celle-ci, ou lorsque l’activité conduit à une dégradation de l’environnement qui perturbe cette espèce (par exemple, l’écotourisme intensif). Cette exploitation correspond à un service écosystémique d’approvisionnement – et aux contributions matérielles de la nature (dans la typologie de l’Ipbes) – lorsqu’elle vise à se nourrir, se vêtir, se chauffer ou se loger par exemple. Elle correspond à un service culturel – et aux contributions immatérielles de la nature – dans le cas d’activités récréatives ou spirituelles. Au niveau mondial, l’Ipbes estime qu’il s’agit de la 2e cause principale de perte de la biodiversité.
La pêche, la chasse, la cueillette et l’exploitation des forêts naturelles (par opposition aux plantations) sont les principales formes d’utilisation des espèces sauvages, entraînant un prélèvement dans la nature. Certaines activités sans prélèvement représentent également une forme d’utilisation.
La pollution correspond à une dégradation de l’environnement par des substances, des déchets ou des nuisances diverses. Il peut s’agir de particules fines, de gaz à effet de serre, de métaux lourds, de substances chimiques ou de matériaux non dégradables comme les plastiques. Les pollutions sonores et lumineuses présentent également un fort impact sur le fonctionnement et la santé des écosystèmes mais sont encore relativement peu étudiées. Elle concerne différents types de milieux : l’atmosphère, les sols, les rivières ou les océans. Ingérée, respirée, entravante ou dérangeante, la pollution de l’environnement affecte la santé de toutes les espèces, y compris les humains. La meilleure solution face à l’augmentation des déchets et des polluants est de réduire drastiquement leur production et leur utilisation, sans engendrer de nouvelles pollutions.
Les modes de production et de consommation pour répondre à cette demande entraînent des changements d’utilisation des terres et des mers, c’est à dire des changements d’occupation et d’utilisation des sols et des ressources, liés aux activités humaines. Le changement d’usage des terres est reconnu comme la cause première d’érosion de la biodiversité sur la planète.
Sélection artificielle pour augmenter la productivité agricole, surexploitation des ressources altérant la morphologie et les cycles de vie des espèces exploitées, invasions biologiques favorisées par l’accroissement des activités humaines, nouvelles pressions de sélection liées à l’anthropisation des milieux, fragmentation des populations, etc. : l’action de l’Homme peut altérer, de manière maitrisée ou non, l’évolution darwinienne des organismes vivants.
Trop peu rappelé lorsque l’on parle de préservation de la biodiversité, la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) vous propose ce cahier thématique sur l’évolution darwinienne. Consultable dans les ressources ci-dessous, ce document est le fruit du travail du Club recherche-action de la FRB sur les Impacts évolutifs des activités anthropiques.
Face à l’extension de l’urbanisation à l’échelle planétaire, les chercheurs sont de plus en plus nombreux à considérer que les villes doivent contribuer à la conservation de la biodiversité. Les espaces urbains peuvent en effet constituer des habitats favorables à la faune et la flore. Alors qu’en écologie, la ville est souvent considérée suivant un gradient d’urbanisation, allant du rural à l’urbain, d’autres critères peuvent la caractériser : sa complexité, une grande diversité spatiale, architecturale, etc.
En 2020, à travers la réalisation d’une revue systématique, un état des connaissances scientifiques sur les liens entre formes urbaines et biodiversité a été conduit par la FRB pour le Puca, avec l’appui scientifique du MNHN. Il apparaît aujourd’hui essentiel que les chercheurs s’intéressent à un niveau plus fin d’analyse, impliquant les différentes formes de l’urbain, et évaluent comment ces morphologies urbaines permettent l’installation spontanée et le maintien d’espèces animales et végétales.
La publication Formes urbaines et biodiversité, un état des connaissances est disponible dans les ressources téléchargeables.
L’évaluation mondiale de l’Ipbes (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique pour la biodiversité et les services écosystémiques), parue fin 2019, a souligné l’état dramatique de la biodiversité, en majeure partie imputable aux activités humaines. Parmi elles, le changement climatique d’origine anthropique a un impact grandissant sur la biodiversité, et il exacerbe et est exacerbé par les autres facteurs de pression. Le Giec estime que la déforestation et la conversion des terres pour l’agriculture par exemple contribuent à près de 23 % des émissions humaines de gaz à effet de serre. Des conséquences se font d’ores et déjà sentir sur les populations d’espèces et les écosystèmes, alors même que les possibilités d’adaptation des organismes sont limitées par les autres pressions qui réduisent les ressources alimentaires ou la diversité génétique.
L’évaluation mondiale de l’Ipbes (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique pour la biodiversité et les services écosystémiques), parue fin 2019, a souligné l’état dramatique de la biodiversité, en majeure partie imputable aux activités humaines. Cet enjeu prend aujourd’hui une importance croissante sur la scène internationale et la lutte contre la perte de la diversité biologique s’impose désormais comme une priorité pour de nombreux pays, dont la France. Les questions liées à la biodiversité ont en effet des répercussions fortes sur plusieurs dynamiques, parmi lesquelles le commerce international, la sécurité alimentaire, le développement, la pollution, les ressources en eau, la santé, la lutte contre la criminalité transnationale ou encore la corruption. Si le constat alarmant du rythme de destruction de la biodiversité est largement partagé, les actions mises en oeuvre pour inverser cette tendance restent toutefois insuffisantes au regard de l’urgence de la situation.
Dans un monde où les résultats des recherches scientifiques sont de plus en plus nombreux et complexes, où les spécialistes sont invités à s’exprimer de plus en plus souvent et portent des messages parfois contradictoires, le choix de la méthode d’expertise, et donc de la façon dont les connaissances sont mobilisées et analysées est crucial.
Donner confiance dans les résultats des expertises, en connaître les limites, respecter le principe de transparence font partie des objectifs du guide « Méthodes d’expertises » pour répondre à l’impératif de crédibilité du processus d’expertise et des résultats obtenus.
L’Office français de la biodiversité (OFB) et la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) ont travaillé de concert pour produire ce guide qui se définit comme un outil opérationnel d’aide au choix de la méthode d’expertise, tant dans la sphère publique que privée.
Télécharger le guide sur les méthodes d’expertise ainsi que le dépliant synthétique dans les ressources téléchargeables.
Cette évaluation sans précédent a permis de rendre compte des changements qui se sont opérés au cours des 50 dernières années et a fourni un aperçu complet de la relation entre les trajectoires de développement économique et leurs impacts sur la biodiversité.
L’Ipbes a appelé à des changements systémiques profonds à l’échelle planétaire pour inverser les tendances et assurer l’avenir de l’humanité.
La FRB propose dans la brochure (téléchargeable dans les ressources ci-dessous) les principaux messages à retenir ainsi qu’une analyse critique de ce travail unique.
Pour réaliser cette évaluation, plus de 120 experts internationaux issus de 36 pays ce sont réunis pour évaluer l’état des connaissances sur la biodiversité en Europe et en Asie centrale. Ils ont tiré leurs informations de plusieurs milliers de sources : travaux scientifiques, rapports techniques et savoirs traditionnels et locaux. Rassemblées dans les “Résumés pour décideurs”, les conclusions-clés visent à orienter les décisions relatives aux politiques publiques et aux actions du secteur privé et des citoyens en faveur de la préservation de la biodiversité.
Pour mettre en avant des messages synthétiques, la FRB propose un dépliant issu du rapport Europe et Asie centrale.
Pour réaliser cette évaluation, plus d’une centaine d’experts internationaux issus de 45 pays ce sont réunis pour évaluer l’état des connaissances sur la dégradation et la restauration des sols. Ils ont tiré leurs informations de plusieurs milliers de sources : travaux scientifiques, rapports techniques et savoirs traditionnels et locaux. Rassemblées dans les “Résumés pour décideurs”, les conclusions-clés visent à orienter les décisions relatives aux politiques publiques et aux actions du secteur privé et des citoyens en faveur de la préservation de la biodiversité.
Pour mettre en avant des messages synthétiques, la FRB propose un dépliant issu du rapport Dégradation et restauration des terres.
Souvent bâtie sur les milieux les plus riches et favorables à la vie, le long de fleuves, sur des espaces naturels diversifiés ou agricoles, la ville est un milieu entièrement construit et entretenu par l’Homme qui subit des modifications rapides et brutales engendrant une mosaïque de milieux différents. Les sols, y sont maintes fois remaniés, déstructurés, pollués, reconstruits. Les paysages y sont modifiés, fragmentés. L’air y
est pollué. L’eau extrêmement canalisée… Malgré toutes ces contraintes, la ville abrite une biodiversité non négligeable, qui devrait se renforcer avec l’augmentation des espaces végétalisés dans les espaces urbains.
Ce document, consultable dans les ressources ci-dessous avec sa bibliographie, est le fruit du travail d’un groupe de recherche Cos–CS FRB sur Écologie et sociétés urbaines.
Ce travail est également à l’origine du publication scientifique parue dans Science of The Total Environment, à découvrir ici :
“Urban ecology, stakeholders and the future of ecology“
La FRB a mis en place en 2015 un groupe de travail “Espaces naturels protégés et recherche” associant ses deux conseils de gouvernance : le Conseil d’orientation stratégique (Cos) et le Conseil scientifique (CS). Dans le cadre de ce groupe de travail, une enquête a été menée afin de mieux connaître et faire connaître les collaborations gestionnaires/chercheurs et leur implication dans le développement des connaissances.
Un dépliant a également été conçu, sur la base de la publication, et met en avant des recommandations visant à conforter les espaces naturels protégés en tant que sites potentiels d’observation et d’analyse des rapports des sociétés à la nature. Elles ont également comme objectif d’en faire des sites références “sentinelles” où réaliser des suivis sur le long terme.
La publication et le dépliant sont consultables dans les ressources ci-dessous.
Cette nouvelle réglementation encadre les activités de recherche et de développement réalisées sur les ressources génétiques prélevées sur le territoire français ainsi que celles menées à partir de connaissances traditionnelles associées, détenues par les communautés d’habitants présentes en outre-mer (Guyane et Wallis et Futuna).
Chercheur caractérisant des ressources génétiques en forêt ou en mer, biologiste en quête de nouvelles espèces aux propriétés intéressantes pour une entreprise cosmétique, microbiologiste travaillant sur des virus, bactéries ou parasites, sélectionneur de plantes, gestionnaire d’un centre de ressources diffusant des échantillons, ethnobiologiste recensant les pratiques médicinales d’une communauté d’habitants ou encore communauté autochtone et locale ayant des connaissances sur une plante, l’APA vous concerne.
Le guide “L’APA pas à pas” est consultable en ligne ou téléchargeable ci-dessous. Conçu sur la base du guide L’APA pas à pas, le dépliant téléchargeable également ci-dessous propose des repères pour la compréhension et l’application du principe d’accès et de partage des avantages par les utilisateurs.